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Jordan Shoes L'avocat général avait requis par écrit, devant la chambre de l'instruction, un non-lieu en faveur du cafetier qui a abattu d'un coup de fusil un cambrioleur de 17 ans. Mais les débats pourraient le faire changer d'avis.
Envoyé spécial à Albi
Alors que le verdict est attendu tard mercredi aux assises du Tarn, Luc Fournié, poursuivi pour le meurtre de Jonathan Lavignasse, 17 ans, le 14 décembre 2009 à Lavaur - il plaide la légitime défense -, a subi en début de matinée un feu roulant de questions. Plusieurs jurés l'ont interrogé précisément, ce qui est rarissime, sur son comportement au moment des faits mais aussi pendant les jours précédents, de sorte que la défense, assurée par Me Georges Catala, doit sans doute se faire quelques soucis. La grande interrogation portait sur l'attitude de l'avocat général: il avait requis par écrit, Nike Tn
Pas Cher devant la chambre de l'instruction, un non-lieu en faveur du cafetier. Au vu des débats, est-il en mesure de requérir un acquittement comme, semble-t-il, il l'envisageait?
M. Fournié commence par raconter ce qui s'est, selon lui, passé lors de la nuit tragique du 13 au 14 décembre dans son café, le Saint Roch. Le jeudi précédent, il signale à la gendarmerie que les barreaux d'une des fenêtres avaient été partiellement sciés, on lui conseille de ne rien faire, promettant une surveillance adéquate - qui n'a pas été mise en place. Vers 2h du matin, le lundi, il est réveillé par le bruit du carreau qui vole en éclat, brisé par Ugo et Jonathan, venus cambrioler le débit de boisson. «Je saute du lit, je monte à l'étage, je charge le fusil», affirme l'accusé d'une voix étranglée. On connaît la suite: un premier coup de feu foudroie Jonathan, TN Pas
Cher un second manque Ugo qui s'enfuit.
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