Nike Tn publiée par WikiLeaks en partenariat avec Libération Une note de la NSA confirme que Washington utilise le toit de ses ambassades pour écouter ses partenaires européens. Une nouvelle note de la NSA, publiée par WikiLeaks en partenariat Nike Tn avec Libération,Mediapart et la Süddeutsche Zeitung, montre que les Etats-Unis espionnent l'Europe et ses dirigeants depuis leurs représentations diplomatiques, au c?ur même des capitales européennes. Ce sont trois lettres, au bas du document, qui le prouvent?: ?SCS?, pour ?Special Collection tn pas cher chine Service?, une unité commune à la NSA et à la CIA spécialisée dans les opérations de surveillance clandestine. Son existence était déjà connue, mais la note de la NSA confirme que ces stations d'écoutes sont bien utilisées, non pour la prévention du terrorisme, mais contre le Tn Pas Cher personnel politique européen, pour informer Washington et ses très proches alliés des positions des uns et des autres. Dans ce document classé ?Top secret?, ?les dirigeants allemands? sont désignés comme les cibles de l'interception analysée par la NSA. Il y est question d'une tn nike conversation tenue le 13 décembre 2011 entre un très proche conseiller d'Angela Merkel, Nikolaus Meyer-Landrut, et Xavier Musca, alors secrétaire général de l'Elysée, un poste-clé à la présidence de la République. Les deux hommes échangent à propos d'un nouveau traité de l'Union européenne, dont il est beaucoup question en décembre 2011. Poussé par la chancelière allemande pour renforcer la gouvernance de la zone euro, il re?oit d'abord un accueil favorable chez Sarkozy. Qui s'en détournera finalement dès le début de sa campagne, deux mois plus tard. Interrogé par nike tn requin pas cher france Libération et Mediapart, Xavier Musca juge la conversation ?crédible et cohérente? avec le type de préoccupations d'alors. Mais il précise que sur les sujets plus sensibles, les échanges passaient par des moyens sécurisés. Le conseiller allemand évoque aussi la position de la Suède, Nike TN en ?colère? à cause de la décision britannique de ne pas participer à la réforme des institutions.
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